Lors des élections municipales de mars 2014, tous les
élus communaux ont été pris de court, suite à l’application de la loi de
« métropolisation », le 27 janvier 2014. L’objectif du Gouvernement
de l’époque était sans ambiguïté : au non d’une « rationalité
financière » des plus datées « les
métropoles doivent se substituer aux communes pour la gestion des
infrastructures de proximité, telles que la voirie et les réseaux ; mais également
l’économie, l’aménagement, l’habitat et l’environnement ».
Nul
ne l’ignore, toutes les décisions prises dans ces lieux de pouvoirs concentrés
entre les mains de quelques uns ([1]) permettent aux « décideurs »
de prendre de la distance avec les populations et leurs espaces de vie, comme
de débats … C’est ainsi qu’on achève la démocratie.