Le 11 janvier 2013, je commençais mon
intervention des vœux en vous précisant que « si
rien ne change en ce qui concerne les indicateurs macro-économiques, que restera
t-il de l’industrie automobile dans un an » ? Et d’ajouter « qu’il ne fallait compter d’aucune façon
sur moi pour vous adresser des vœux de confiance convenue ». Plus que
jamais, il nous faut entendre des expressions autrement plus lucides quant à la
réalité, que ces déclarations qui se prétendent les unes après les autres rassurantes ;
mais en définitive tellement peu convaincantes.
En ce début 2014, il nous appartient d’abord
de formuler des souhaits porteurs d’avenir ; des souhaits qui s’accompagnent
de projets ; des projets qui affichent notre parfaite volonté d’être aux
avant-postes pour préparer l’avenir de nos territoires et des générations
futures qui les occuperont.
Je vous invite donc à aborder cette
nouvelle année avec clairvoyance certes, mais surtout avec une volonté affichée
de changer le cours de l’actuelle économie déclinante. Telle est la volonté qui
ne peut ni ne doit nous faire défaut. Le défi est important et j’y reviendrai
plus loin.
Décidés à nous inscrire dans cette
perspective positive, je vais d’abord vous parler de ce qui avance. C’est évidemment
le cas de nos réalisations en cours et à venir dans la commune et nos intercommunalités.
Priorité à l'éducation et la qualité de vie
Qui n’attend pas de nos
collectivités un service de qualité pour l’éducation ou l’accueil des jeunes
enfants ? Qui souhaite abandonner le cadre de vie qui nous permet la
meilleure ouverture possible aux pratiques sportives et culturelles…, sans
oublier les sujets d’accessibilité et plus globalement de la qualité d’un
environnement durable ?
Pour atteindre de tels
objectifs, élus, agents communaux et intercommunaux agissent pour entretenir,
rénover ou mettre aux nouvelles normes nos équipements publics. Chaque année, nous
investissons avec le souci de préparer au mieux l’avenir, et avec l’absence systématique
de toute prétention à faire des dépenses injustifiées. Ainsi, notre attention
quotidienne, c’est d’apporter des services au plus juste pour le meilleur accompagnement
possible en matière d’action sociale, culturelle, sportive et associative. En
ces années difficiles pour les familles, pour nombre d’aînés et de personnes
qui travaillent en contrepartie de rémunérations modestes, voire dérisoires, il
nous faut constamment adapter notre politique de solidarité. Tel est le fil
conducteur de notre engagement public local.
La solidarité
La solidarité
Ainsi, je citerai le réajustement avec un budget doublé des aides du Centre communal d’action sociale pour les repas scolaires, pour les activités périscolaires et d’animations destinées aux enfants. Dans le même esprit, nous consolidons dès le budget 2014 nos trois Points Accueil Emploi du canton au moyen d’une participation redéfinie. Merci également aux amis de Laillé de nous rejoindre dans le réseau des PAE.
Dans le domaine de l’enfance-jeunesse, nous avons mis
en place l’opération argent de poche qui a rencontré un fort succès auprès des
jeunes chartrains. Nous avons relancé la mobilisation de nos jeunes concitoyens
au travers de Cap à Cité. Initié par les élus et les services de la Ville, une
quinzaine de jeunes chartrains se sont impliqués dans cette aventure et se sont
réunis durant toute l’année pour faire des propositions et prendre des
initiatives.
Les travaux
En 2013, nous avons terminé d’importantes
rénovations dans la halle des sports, ainsi que dans la salle polyvalente historique de la commune ; la salle Victor
Basch.
Nous avons achevé l’extension et le réaménagement des locaux du multi
accueil Tintinabulle dédié à la petite enfance. Dans le parc des loisirs, la
Grand’voile et les aménagements qui l’accompagnent sont terminés avec la
contribution du second chantier international de jeunes. Ce lieu est devenu un nouvel
espace public d’animation très convivial.
En matière de voirie et de réseaux, par souci de
préservation de notre environnement, nous avons :
- installé des canalisations d’eaux pluviales qui n’existaient pas dans plusieurs lotissements anciens,
- repris des voies dégradées par le passage de véhicules lourds dont les bus,
- réalisé la voie piétonne entre la rue de Fénidan, proche de l’école élémentaire de l’Auditoire et le Centre ville au Nord de la rue de Calarasi.
Egalement, nous poursuivons les aménagements ponctuels
de voirie, pour l’essentiel dédiés à la sécurité ainsi qu’à l’éclairage public
avec des dispositifs très économes en consommation. En période hivernale, nous
avons trop souvent à déplorer des coupures d’alimentation de l’éclairage public.
Elles sont liées à des problèmes d’isolation en période humide, toujours très difficiles
à déceler. Mais soyez assurés que les services font tout ce qu’il est
nécessaire pour réparer ces défauts, au demeurant forts désagréables pour les
riverains.
D’importants programmes déjà engagés en 2013 vont se
terminer en 2014. C’est bien sûr la salle de spectacles du Pôle Sud qui sera
achevée pour la rentrée.
La réhabilitation de l’ensemble sportif Rémy Berranger
va commencer avec les travaux concernant les vestiaires et tribunes pour le
football. Toujours concernant les investissements et comme nous l’avons fait pour
le transfert du Trésor public à la Conterie en 2011, nous terminerons lors de
ce premier trimestre les travaux de la pharmacie destinée à Hospitalisation à
Domicile.
Dans l’éco-quartier des Portes de la Seiche, les
opérations avancent aussi. La première tranche de l’opération de découverte du
ruisseau de la mécanique à des fins paysagères et écologiques, avec la
ré-oxygénation des eaux pluviales est réalisée. De même, les travaux pour les
premiers réseaux de viabilisation vont commencer, entre autres avec le réseau
de chaleur et la centrale de chauffe dont la première source d’énergie sera
assurée par la biomasse. Nous gardons à l’esprit de diversifier nos approvisionnements
avec d’autres contributions énergétiques durables.
Pour conclure sur les projets communaux, un important
dossier est à l’étude avec tous les partenaires concernés, même si dans le
contexte de crise économique actuel et de ralentissement de la demande
immobilière, l’heure n’est pas encore au lancement des travaux. Il s’agit du
nouveau pôle enfance sur le site de l’école Brocéliande, qui au delà de
développer nos capacités d’accueil, permettra de réunir certaines autres
structures complémentaires liées à l’enfance et la petite enfance. Nous aurons
bien sûr l’occasion de revenir sur cette étude en cours dans l’année 2014.
Chers amis, tous ces projets mobilisent les moyens
humains de la collectivité et nombre d’entreprises attributaires de nos
marchés. Chacun sait combien les politiques d’investissement communales et
intercommunales sont utiles pour l’économie locale et par conséquent pour la
pérennité de l’emploi public et privé. Dans nos rôles respectifs, nous allons
poursuivre sur cette voie, mais toujours dans le respect des bons équilibres
financiers et le souci de la modération fiscale.
La commune et l'intercommunalité
Concernant l’intercommunalité, chaque fois que nous sommes en mesure d’apporter un meilleur service dans la proximité et que nos moyens communaux démontrent qu’ils sont plus économes en coûts que tout autre modèle d’organisation institutionnelle, nous sommes depuis des années invariablement favorables à la consolidation des compétences exercées par les communes. Façonnés si j’ose dire par notre attachement culturel à l’histoire de France et ses communes, c’est à cette échelle, la commune, que se rattache ce sentiment d’appartenir à un espace de vie de proximité, de solidarité et de confiance entre tous. Autant de qualités indispensables pour aider nos enfants à grandir et devenir adultes. Ces questions sociétales, de lien social selon le terme consacré, sont autrement plus essentielles et fortes que toutes les formes de velléités d’hégémonie et de pouvoir qui viennent d’autres institutions moins représentatives de la vie locale.
Décentralisateur convaincu comme nombre
d’entre nous, privilégions d’abord la coopération à l’intégration. Dans nos
départements de l’Ouest, berceau historique de la coopération, nous savons
combien celle-ci a été un formidable moteur de développement, certes économique
mais également de promotion sociale.
Depuis les années 60, le syndicat d’eau potable
produit et distribue de l’eau qui provient de notre sous-sol calcaire, la
nouvelle usine qui justement décarbonate l’eau avec un procédé qui n’existait
pas voici 10 ans est opérationnelle. Sans notre détermination intercommunale,
je veux parler des communes au Sud de Rennes, ce beau projet n’aurait pu voir
le jour, alors qu’il s’agit de valoriser le plus important réservoir
hydrogéologique sous-terrain du bassin Rennais.
La cuisine centrale intercommunale va
s’agrandir dès cette année et dans les prochaines semaines, le syndicat Val de
Seiche et d’Ise va décider de la nouvelle tranche de traitement des eaux usées
à construire ; ce qui portera notre capacité de dépollution de 32 à
50 000 équivalent-habitants. Nous répondrons ainsi à la croissance
démographique de tout le secteur Sud-Sud Est de l’agglomération rennaise.
Partenaires au sein des grandes
agglomérations (métropoles), nous avons des défis majeurs à relever. Nos
entités urbaines devraient d’ailleurs bien mieux encore savoir les affirmer
avec chacune des communes et le département dans le contexte d’un vrai projet stratégique
et solidaire. Je veux parler du défi de la lutte contre la désindustrialisation
et de la construction de nouveaux modèles de développement humain, de grands
projets d’infrastructures d’avenir avec les régions et l’Etat. Nous savons que
ce sont là des conditions nécessaires mais certainement pas suffisantes pour
mettre un terme à la crise. Il n’en demeure pas moins que nous avons
collectivement de beaux succès en matière de transport collectif mais aussi
dans le domaine du financement mutualisé des politiques du logement.
Tout au long de l’année 2013,
nous avons accompagné de belles manifestations associatives. C’est également
cela la vie d’une commune. Pour certaines d’entre elles, la halle de la
Conterie aura été précieuse et je ne doute pas qu’il en sera de même en 2014. Précieuse
aussi pour le Pôle Sud qui peut investir la Halle pendant le temps des travaux
de la salle Jacques Brel. Merci aux organisateurs ainsi qu’aux services municipaux
qui apportent les moyens techniques pour assurer le succès de ces
manifestations. Un merci particulier aux organisateurs du festival de théâtre Boréales
dans la halle, au comité des fêtes, aux associations de jumelage, à Génétique
Chartraine, à toutes nos associations organisatrices de manifestations festives
ouvertes au public.
Pour l'économie et les emplois : notre mobilisation de tous les instants
Tel qu’annoncé au début de mon
propos, je vais terminer sur cette question sensible de la crise économique qui
devient un peu plus chaque jour la pire crise de l’emploi et par conséquent,
une véritable crise de confiance susceptible d’entretenir les discours le plus
démagogiques qui soient.
Comme chacun sait, la mutation
urbaine de la commune date de l’arrivée des usines Citroën. Personne ne peut ignorer
la métamorphose historique de Chartres à l’époque. Personne ne peut contester
au Maire de Chartres de Bretagne et à son conseil municipal de s’impliquer au
plus haut point dans ce dossier qui est au cœur de la vie communale depuis 56
ans. Chacun le sait ici, la décision d’implantation de fin juillet 1958 est intimement
liée à l’expression de choix politiques d’aménagement du territoire en ces
temps que furent l’après-guerre. Le Bassin rennais, l’Ille et Vilaine et la
Bretagne en ont été de grands bénéficiaires. Dès les années 60, les succès
étaient au rendez-vous, jusqu’à ce que nous parlions de par toute la France du
miracle économique Breton. Notre génération se souvient bien évidemment
toujours de ces décennies de prospérité.
Un tel développement agricole,
agroalimentaire, électronique, dans les télécommunications, la mécanique et l’automobile
s’est parfaitement inscrit dans le contexte de la construction européenne ;
très volontariste et fidèle à l’esprit du traité de Rome en 1957. Mais qu’en
est-il resté dans l’esprit des actuels décideurs économiques, privés comme
publics ? Que reste t-il de ces principes fondateurs du modèle économique
et social de l’Europe ?
Peut-être que ces décideurs admettront
un jour leurs errements dans cette mondialisation financière tellement dévastatrice…
En attendant :
- nos grandes entreprises, pourvoyeuses d’emplois et d’indéniables richesses de technologies et savoir-faire connaissent un déclin digne de la plus grande descente aux enfers,
- nombre de jeunes n’ont d’autre alternative que de quitter nos communes pour trouver un emploi qualifié,
- chaque mois, des dizaines de petites et moyennes entreprises se déclarent en rupture de trésorerie ; qu’il s’agisse d’entreprises jugées traditionnelles dans leurs activités mais également dans les secteurs de « hautes technologies ».
Le fond participatif départemental
Fin 2011, nous avons proposé
de créer un fond de soutien mutuel et participatif pour les entreprises
confrontées à des difficultés récurrentes de haut de bilan ; c’est à dire
de fonds propres. Cette idée a fait son chemin jusqu’à convaincre les
organisations patronales qu’il s’agissait d’un bon projet. Selon leur volonté,
il leur appartient maintenant de le concrétiser très vite, faute de voir encore
le nombre des défaillances d’entreprises augmenter. C’est ce que je constate
tous les jours dans ma mission au Conseil Général et que j’assure au titre de
votre représentation dans l’institution départementale.
Depuis la fin de 2008, nous sommes
confrontés à cette dure réalité… et les chiffres parlent d’eux-mêmes !
C’est la raison pour laquelle
la municipalité de Chartres s’est unanimement et solidairement engagée dans un
combat pour défendre et faire des propositions destinées à sauver notre
économie productive, dont celle de l’industrie automobile. Je remercie
également les élus des communes voisines et du Département qui se sont
associées à notre mobilisation de juin et juillet 2013.
A ce stade, il est peut-être utile de
rappeler que l’industrie reste incontournable parce qu’elle porte, mais
également bénéficie de l’essentiel des efforts de recherche, indispensables à
la pérennité de l’économie locale, comme nationale. Il est clair que l’effort global
de recherche en France, à hauteur de 46 milliards en 2012 deviendra des plus
stériles s’il ne trouve plus son débouché logique dans nos territoires, parce
que nous n’aurions plus d’industries dynamiques pour se l’approprier et la
développer au bénéfice de l’économie et de l’emploi.
Tout n’est pas qu’une question
d’innovation et de mutation, c’est aussi un sujet qui relève des nouvelles
politiques économiques à conduire pour préserver et consolider notre tissu
productif. Sur ce point précis, la décennie passée n’est malheureusement pas autre
chose qu’une décennie perdue ! Voyez les chiffres : en 2002,
l’excédent commercial de l’industrie manufacturière apportait à la France un
solde positif de 15 milliards d’euros ; en 2012, c’est un déficit constaté
de 19 milliards.
En 2002, l’excédent du secteur automobile
était de 7,5 milliards. En 2012, c’est un déficit de 3 milliards.
Alors que l’économie mondiale s’essouffle
de nouveau, si les gouvernants des principales puissances économiques mondiales,
dont l’Europe, ne s’entendent pas sur une stratégie de relance et de développement
durable, concertée et solidaire, et bien, comme l’écrivait en décembre 2013 l’indien
Ashoka Mody, ancien chargé de mission au FMI et professeur à l’université
américaine de Princeton, la « prochaine décennie sera encore une décennie
perdue ».
A maintes reprises, lors de réunions
comme la nôtre ce soir, A l’occasion de contributions publiques communales,
départementales et même nationales, de colloques, d’études et de missions tel
l’étude Gailong international, nous nous sommes exprimés sur l’état préoccupant
de la situation industrielle nationale. Des gens dotés de toutes les
reconnaissances quant à leurs qualités et compétences, des gens qui ne détiennent
leur pouvoir que de notre propre mobilisation citoyenne nous ont contestés à
propos de notre analyse de la situation dramatique que nous étions en train de
subir. Aujourd’hui, ils se taisent. Nous, chers amis, nous avons décidé d’avancer.
Fidèles à nos analyses et diagnostics
ainsi qu’à nos engagements publics, il est hors de question de renoncer à nous
battre devant un tel délitement industriel. Voyez comme la situation est aujourd’hui
désastreuse pour la filière automobile brétillienne. 11 800 salariés en
2006 et prochainement 4 100 dans l’usine de Chartres de Bretagne. 27 000
emplois directs dans la filière automobile en l’Ille et Vilaine en 2006 ;
12 000 en 2012. Combien demain ? Enfin, concernant les ventes
d’automobiles en progrès lors du mois de décembre dernier et après une année
2013 des plus calamiteuses … chacun le sait ici plus qu’ailleurs,
l’hirondelle au terme d’une année n’annonce pas encore le printemps. C’est
aussi le cas pour l’automobile française ; d’ailleurs, même si tel était
la vérité, s’agirait-il réellement du véritable printemps pour l’usine de Chartres
de Bretagne ? Dans l’immédiat, je m’en tiens aux chiffres : ce sont
300 000 heures de travail qui seront chômées à la Janais en ce mois de janvier.
Alors, que puis-je ajouter de plus ce
soir ? Faut-il de nouveau discourir sur l’état de l’économie, dire que 80%
des économistes se sont trompés en 2008 et persistent dans leurs erreurs
d’appréciation ?
Depuis des mois, nous cherchons à
comprendre, nous envisageons de possibles solutions et finançons les études qui
concourent à vérifier leur justesse. Tout ceci, nous l’avons écrit et explicité
dans nos publications municipales, dans la presse et nos sites électroniques
d’informations.
Que l’état intervienne d’ici quelques
semaines pour sauver le groupe Peugeot Société Anonyme avec l’appui d’un
opérateur automobile chinois tel que Dongfeng est certes une bonne chose. Mais
qu’il le fasse en l’absence de si peu de réflexion stratégique sur le plan des
choix industriels à long terme, et tel que nous l’endurons depuis le début des
années 2000 est autrement plus préoccupant pour le devenir de nos communes,
départements et régions.
Un succès industriel d'importance
Contrairement à toutes ces déclarations éthérées
qui concernent le coût du travail pour justifier les fermetures, voire les
délocalisations, d’autres pendant ce temps savent qu’un avenir technologique et
industriel est parfaitement envisageable ici. Ils le prouvent en investissant
ici même à Chartres de Bretagne, pour développer des fabrications destinées au
marché national, comme à l’export. Chers amis, je n’aurais été complet si je ne
saluais pas devant vous le groupe Schneider Electric, leader mondial dans sa spécialité
industrielle, pour son choix d’investir et d’inaugurer en 2013 une nouvelle
usine à Chartres de Bretagne.
Acteurs de la vie communale et
intercommunale, élus et salariés de toutes nos collectivités, responsables du
monde économique, du monde associatif, sportif, culturel, de l’animation et de
la solidarité, bien peu de choses sont possibles sans votre engagement dans
notre commune. Je vous remercie très sincèrement pour votre présence ce soir.
Bonne année 2014 à vous tous. Tous mes
vœux de santé ; excellente année pour vos projets personnels, bonne année
à tous ceux qui pour des raisons d’indisponibilité ou de santé n’ont pu se
joindre à nous.
Merci pour votre attention.
Philippe Bonnin, Maire
Philippe Bonnin, Maire