La halle de la Conterie.
Bienvenue à la halle de la Conterie. Ce nouvel espace était attendu
depuis des années. A compter d’aujourd’hui, il nous permettra
d’accueillir l’essentiel des manifestations qui se tenaient jusqu’à
présent dans les salles dédiées aux sports ou d’autres endroits devenus
trop petits. Je ne doute pas que nombre d’idées vont prendre forme pour
que des activités nouvelles, hors des manifestations sportives qui ont
leurs propres salles, soient envisagées en ces lieux ; qu’il s’agisse de
la vie associative, sociale, culturelle ; de manifestations familiales
ou de rencontres en lien avec la vie économique communale et
intercommunale de notre territoire.
Merci aux entreprises qui ont construit cet ensemble de 1 400 m² dont
970 pour l’espace où nous sommes. Les travaux se sont déroulés en moins
d’une année à compter de mars 2011. Ma gratitude s’adresse également à
l’équipe qui a travaillé sur ce projet autour des adjoints Michel Desrez
et d’Alain Miclard. La démarche avait été engagée depuis des mois pour
qu’on aboutisse sur des choix dont le résultat est maintenant devant
vous.
Pour cette halle, il était entre autres nécessaire de trouver
l’implantation qui corresponde parfaitement à la dimension souhaitée du
nouvel ensemble.
Dès le début des années 2000, nous avions considéré la Conterie comme
l’endroit le mieux approprié pour l’accueillir. Les critères en étaient
l’accessibilité, ainsi qu’une bonne identification géographique proche
du centre culturel Pôle Sud. Pour ce faire, nous avons attendu 12 années
puisqu’il était nécessaire que le site soit aménagé et que nous
réalisions préalablement et en intercommunalité la piscine sport-loisirs
intercommunale de la Conterie.
La Halle de la Conterie est à la dimension d’une commune qui poursuit
son développement. Un développement qui s’opère avec constance et
régularité ; « sans à coup » sur le plan urbanistique comme
démographique. Les chiffres sont tous là pour en témoigner. Avec cet
équipement et tous ceux qui le précèdent dans notre histoire communale,
nous préparons les besoins qui seront ceux des chartrains d’aujourd’hui
naturellement, mais également des chartrains de demain.
Une intercommunalité à plusieurs échelons : pour une approche complémentaire à l’agglomération.
Sur le plan de l’intercommunalité : Avec les municipalités voisines,
nous faisons avancer la qualité de vie de toute la communauté humaine
résidant au Sud de Rennes. C’est le cas avec Val de Seiche pour le
traitement des eaux usées urbaines. La station concerne aujourd’hui neuf
communes et PSA Peugeot-Citroën depuis octobre 2011. Aujourd’hui, nous
poursuivons l’optimisation des capacités épuratoires ; toujours au
travers de technologies biologiques douces et le moins énergivores
possible. Le programme d’extension de 32 à 50 000 équivalents-habitants
va également passer à la phase des études en 2012 pour répondre au
Programme Local de l’Habitat de chaque commune au sein de Rennes
Métropole. Au Sud de notre communauté d’agglomération, je citerai encore
le plan biomasse Conterie et la future usine des eaux à Bruz, dont la
mission sera de mieux exploiter l’aquifère du bassin géologique de
Chartres-Bruz. Les travaux devraient commencer cet automne. Je n’oublie
pas également le programme hydrogéologique et géothermique Cinergy avec
le BRGM, ou encore la piscine intercommunale de la Conterie, la cuisine
centrale intercommunale et les écoles de musique intercommunales ;
Ecoles dont j’encourage depuis deux ans le rapprochement. Ce sont autant
d’atouts pour développer une culture partenariale et coopérative pour
faire avancer la qualité de vie de notre territoire et sa qualité
environnementale. Pour nous, ce sont là des valeurs résolument tournées
vers l’avenir.
J’ai toujours défendu les politiques de coopération intercommunale
décentralisée au sein de nos grandes agglomérations. C’est l’option qui
nous convient le mieux pour construire des territoires de vie dont
l’échelle humaine doit être un gage précieux pour réussir ensemble ;
pour tisser un lien social fort entre les générations et dans le respect
de la diversité qui compose nos populations communales.
Je tiens à vous dire ce soir que cette intercommunalité locale ne
peut s’administrer par le haut. C’est l’option nécessaire pour réussir
cette relation complexe, mais tellement utile entre habitat et
développement économique et qui doit par conséquent se traduire par la
création d’emplois dans nos territoires … dans chacune de nos communes.
Et puis, il s’agit de donner entre autres du sens à ce leitmotiv adopté
voici plus de 40 ans par nous les « gens d’Ouest » : habiter et
travailler ici (au « pays »). Penser le territoire ainsi, c’est aussi
nous donner un véritable atout, un mental, une force pour envisager
autrement l’emploi des jeunes, mais également l’emploi de tous ceux qui
vont devoir poursuivre leur vie professionnelle, sans subir autant que
possible les risques de rupture, imposés avant le terme normal d’une
carrière.
Rétrospective 2011, perspectives 2012 : le « deuxième acte » de la crise.
Voici un an, j’engageais mon intervention des vœux dans les termes suivants : « Nous
avons tous besoin d'espoir en ce début d'année. 2010 a été marquée par
un contexte économique difficile. Il n’y a jamais eu autant de chômage
et la modeste croissance du Produit Intérieur Brut est trop limitée pour
parler de reprise en France. Les nouvelles lois sociales font planer
une menace certaine sur les valeurs de solidarité et de fraternité,
fortement ancrées dans la société française ».
Pessimiste ou réaliste ? Réaliste naturellement ! Et pour ceux qui
croyaient à la possible sortie de crise dès 2011, je regrette
aujourd’hui que le constat s’impose à chacun d’entre nous : chômage,
dettes publique et privées, mésententes et contradictions récurrentes
entre dirigeants européens sur le diagnostic et les solutions à
préconiser. Voici les ingrédients ; voilà la réalité qui nous échoit
pour construire une année différente de ce que des économistes et des
gouvernants dépassés nous préparent.
Et finalement, si les choses n’étaient pas si mal parties dans ce
monde au modèle économique intenable, ou chacun veut légitimement gagner
de l’argent mais ne jamais contribuer au bien commun ? Admettez que ce
n’est pas vraiment « durable » pour utiliser l’un de ces nouveaux mots
du langage social, économique, écologique et politique…
Revenons à la photographie de l’instant sur notre économie et la
société : certains « conquérants de la finance » sont aux abois ; et
cette fois-ci ils ne seront pas sauvés. A quoi bon d’ailleurs, puisqu’il
faudrait relever encore un peu plus le curseur dans le répertoire des
records d’une dette devenue abyssale et impossible à rembourser par des
dizaines de générations successives ?
En attendant, au prétexte du remboursement de la dette, la rigueur
comme mesure culpabilisante, expiatoire, pèse sur le consommateur et de
préférence sur les plus petits. Toutes les analyses statistiques le
démontrent. Cette rigueur a déjà plongé sept pays d’Europe, dont le
nôtre, en décembre 2011 dans la récession. En outre, le recul de la
production a commencé et, mécaniquement, aggrave le chômage.
Ces incantations pour « réindustrialiser » … mais quelles alternatives à la rigueur ?
Je n’aborde pas cet état de fait pour aller dans le sens des six
premiers jours de l’année 2012, déjà plus qu’encombrés par la
médiatisation d’une élection nationale. Je l’aborde parce que le
scénario de crise qui s’impose à nous déstabilise depuis maintenant
quatre mois nos filières industrielles locales, dont l’automobile, mais
aussi le bâtiment, les travaux publics, l’imprimerie, l’industrie de la
transformation des céréales, et quoi d’autre demain ?
Il est clair qu’en assénant la rigueur, au prétexte du désendettement
public né d’une pratique budgétaire déséquilibrée qui s’est accélérée
dans la décennie passée, d’une pratique de plans de relance comme celui
de 2009, sans traduction dans la dynamique de l’appareil productif
français, nous nous éloignons un peu plus tous les jours du salut pour
la France de nos départements, comme de l’Europe.
Les grandes formules incantatoires à propos d’une politique de
renouveau industriel, reprises en boucle depuis des mois pour ne pas
dire des années, la réapparition par pur hasard certainement de bonnes
vieilles idées fiscales et sociales, ne feront pas en elles-mêmes un
nouveau printemps de l’économie française.
En tout état de cause, la réduction du fardeau de la dette va
justifier une série de mesures pratiquées parfois à l’excès dans les
années 1950 et 70 pour enfin retrouver plus de marges financières. Ces
marges qui nous permettront de relancer l’investissement productif et la
consommation, moteurs indispensables pour une vraie croissance ; une
autre croissance économique.
Pour y parvenir, la banque centrale doit continuer à racheter des
dettes d’Etats, même si elle doit transgresser des dogmes qui ne sont
pas vraiment latins. Certes, il y aura plus de création monétaire, il y
aura des dépréciations significatives de la monnaie ; d’ailleurs, je
note que c’est bien parti depuis 36 heures avec la dépréciation en cours
de l’Euro... Oui nous aurons fatalement de l’inflation… Mais au
passage, c’est ainsi que la France exsangue s’était sortie de la
terrible époque de la seconde guerre mondiale. Ce fut évidemment la
situation de tous les états de l’Europe occidentale.
Certes ce modèle va peser sur nos importations quant bien même il
favorisera nos exportations hors de la zone euro … si elle existe encore
fin 2012 ! Finalement, selon le célèbre dicton populaire, notre option
consiste à choisir entre « la peste ou le choléra » ; Choléra qu’il nous
faudrait assimiler (au sens figuré bien sûr) à la récession en cours,
ce que d’aucun de droite ou de gauche ne conteste.
Depuis la crise de 2008, les banques centrales des Etats-Unis et du
Royaume Uni n’ont pas fait d’autre choix que celui du rachat des dettes
par la monétarisation. Pourtant leur situation n’est pas jugée plus
préoccupante que la nôtre aux yeux justement du redoutable baromètre
financier des marchés. Et puis n’est-ce pas au moyen du dumping
monétaire que la Chine est devenue en 10 ans la seconde puissance
économique du Monde, mais surtout la première « puissance créancière »
du monde ?
Tout n’est donc pas coût social ; et quand j’entends les voix du
« libéralisme orthodoxe », je ne peux que rappeler l’histoire économique
des années 20 ; Ces années qui ont plongé le monde dans la grande
dépression à compter du 24 octobre 1929.
Régler le problème de la dette publique n’est pas insurmontable mais
au-delà de ces préconisations, il reste inéluctable que les créanciers
qui n’ont pas anticipé le choc actuel, vont devoir supporter en partie
le coût de leurs excès de confiance dans la machine infernale de la
spéculation immobilière dont la crise actuelle de la dette publique
n’est qu’un avatar. En réalité, ils y contribuent déjà avec la décote de
leurs créances auprès des Etats européens les plus affectés dans la
crise.
En conclusion, si nos amis d’outre Rhin ne veulent pas de cette
option de sauvetage, et bien pressons un peu plus le pas en direction de
l’impasse. Ainsi, même la belle industrie exportatrice d’outre Rhin
fléchira. Une industrie dont au passage nous sommes les meilleurs
sous-traitants ; les plus compétitifs et les moins approximatifs dans ce
lien indissociable entre la qualité et le prix. Si une telle option
n’est pas prise en urgence, et bien nous reconstruirons peut-être
l’Europe selon le modèle que préconisent encore nos non moins amis
britanniques. A défaut d’entente, serait-ce finalement un moindre mal ?
Par contre ce seront 60 années de perdues.
Les très lourdes conséquences pour notre économie locale.
Pourquoi ai-je voulue m’étendre sur tout ceci en un soir de
festivités ? Et bien, nul ne doute que sans cette autre stratégie
financière d’apurement des excès passés, les usines automobiles dont la
nôtre vont devoir encore ajuster leur production à la baisse ; quant
bien même il n’y a plus vraiment de débat sur la qualité des moyens
industriels chartrains et le très bon niveau de qualification des
ouvriers et prestataires.
Nous en connaissons toutes les conséquences pour les salariés, les jeunes et les familles d’Ille et Vilaine.
Pourtant, le tableau n’est pas aussi sombre qu’on le dit, il faut
expliquer ce qui nous arrive et quelles sont les mesures à prendre. La
France, notre région, a su produire de grands groupes industriels qui,
par contre, ont oublié pour certains ce qu’ils peuvent encore nous
demander en allant voir hors des frontières parce que soi-disant …
c’était mieux là bas… A la faveur de la crise, il nous faut montrer ce
que nous sommes encore capables de faire.
A ce stade, permettez moi de citer l’économiste américain chroniqueur
au New York Times : Paul Krugman, prix Nobel 2008 d’économie.
« Trois reproches peuvent être adressés aux économistes de la
macro-économie. Premièrement, ils n’ont pas vu venir la crise,
deuxièmement ils se sont d’autant plus trompés qu’ils ne concevaient pas
même la possibilité d’une telle crise. Troisièmement, ils ont été
incapables de donner des conseils utiles sur ce qu’il fallait faire
après le déclenchement de la crise. Le premier reproche est à mes yeux,
grandement injuste. Le deuxième est bien plus important : n’importe qui
disposant d’un bagage d’histoire économique aurait dû réaliser que l’âge
des crises financières était loin d’être révolu. Mais l’échec le plus
accablant pour les économistes a été l’ignorance manifeste de ce que
j’appelle les dépressions économiques ».
Tout est affaire de projets.
Et pour conclure sur ce point, félicitons-nous de l’implantation
d’une nouvelle usine de Schneider Electric ici même dans la ZAC de la
Conterie à Chartres de Bretagne. Les travaux de construction des
quelques 8 000 m² commencent ces jours-ci. Schneider Electric est un
grand groupe français, c’est un groupe de taille mondiale ; l’usine de
Chartres sera la référence de son savoir faire industriel pour l’Europe.
Merci au Groupe Launay qui va porter l’investissement immobilier. Je
salue également l’arrivée de l’éditeur de logiciels EMI dans 1 000 m² de
bureaux à construire, les travaux commencent ce mois-ci. A la Conterie,
entre le début 2008 et début 2013, nous aurons généré plus de 500
emplois sur le site.
En 2011, nous avons mis en service la nouvelle maison des
associations. Le Conseil de la vie associative s’y est tenu le 8
décembre dernier.
Beaucoup d’entre vous s’étaient interrogés sur les variations
architecturales non conformes à la commande et concernant ce bâtiment. A
ce jour tout est revenu dans l’ordre des choses. L’extension de la
Mairie est terminée depuis cet automne. Il en est de même pour la plate
forme de collecte et broyage des bois. C’est une Plate forme financée
par la commune pour le développement du plan biomasse communal, comme
pour celui du syndicat intercommunal de la Conterie. Elle est
opérationnelle depuis décembre, tout près de l’aire de covoiturage en
face du Pôle Sud. C’est à l’instar de telles initiatives,
particulièrement « volontaristes », que nous susciterons l’engagement et
la mobilisation de tous pour un autre développement, plus en lien avec
la vision de chacun pour une planète durable.
Dans le contexte de notre politique énergétique responsable ; depuis le 1er
décembre 2011, la commune achète de l’énergie thermique au syndicat de
la Conterie pour les besoins du centre culturel Pôle Sud. D’ici 15
jours, nous en ferons de même pour la halle et ce, dès que les
échangeurs pour le transfert depuis le réseau de chaleur seront
réceptionnés.
Le 16 décembre 2011, nous avons accueilli la Trésorerie principale
dans ses nouveaux locaux de la Conterie. La Trésorerie accompagne 15
communes ; Chartres de Bretagne étant la collectivité qui porte le coût
de cet investissement.
Les programmes de requalification de l’ensemble sportif Rémy
Berranger se sont poursuivis cette année. Après les toitures en 2010,
nous avons restauré les vestiaires de la salle de musculation, repris le
système de traitement de l’air dans la salle des arts martiaux et
changé les chaudières. Nous avons également renouvelé les mains
courantes d’un terrain de sport.
En 2011, nous avons inauguré de nouveaux jardins familiaux dans la ville, avenue de la Marionnais.
Les évènements marquants de l’année furent évidemment la superbe
célébration des 70 ans de l’Espérance ; crée en 1941. En novembre, nous
avons accueilli la 12ème édition du Festival de théâtre
amateur. Le 24 novembre, nous avons reçu la confirmation de notre label
environnemental des villes fleuries : les 4 fleurs, avec les
félicitations du jury national sur notre : je cite, « gestion écologique remarquable des espaces verts ».
Un reproche nous a été formulé, nous ne communiquons pas assez sur une
distinction exceptionnelle, partagée avec seulement quelques 200
communes françaises. Pour ce soir, la communication est faite !
Les rencontres d’information sur la santé nous ont permis d’engager
de nouvelles initiatives de sensibilisation sanitaire en direction de
toutes les générations. Nous allons poursuivre activement ces actions et
grâce justement à la Halle de la Conterie.
J’adresse toutes mes félicitations à l’école de musique
intercommunale Jean Wiener qui vient de se voir accorder après une
inspection très rigoureuse le label de « conservatoire ». Merci au
Président Jean Louis Coudray, sa Directrice Véronique Renard et à toute
l’équipe pédagogique et administrative.
En 2012 le centre d’animation des jeunes, l’Igloo, sera agrandi, de
même que le multi accueil pour la petite enfance Tintinnabule. La halle
des sports voisine sera très profondément restructurée de même que la
salle de spectacles Jacques Brel du Pôle Sud en vu d’une remise aux
normes de sécurité. Nous reprendrons aussi l’inclinaison des gradins.
Les premiers travaux de viabilisation de la 1ère tranche de la ZAC éco-quartier des Portes de la Seiche vont commencer en fin d’année 2012.
Le projet de réalisation d’un kiosque dans le parc des loisirs sera
effectif pendant les vacances d’été dans le cadre d’un chantier de
jeunes. Les jeunes chartrains seront là mais plus inhabituel et
original, nous accueillerons simultanément des jeunes de nos villes
jumelées : Saint Anthème, Hassmersheim, Calarasi, Lwowek et nous
l’espérons : de Newcastle West.
Enfin ici même, un concert grandiose se tiendra les 2 et 3 juin à l’occasion des 30 ans de l’orchestre de Chartres de Bretagne.
Aucun de ces évènements n’est possible sans l’implication des agents
de la commune, de l’intercommunalité et de vous tous ici présents. Nous
vous en remercions très chaleureusement.
En 2012, tout le monde va encore parler des contraintes de la gestion
publique. Ce qui m’importe, c’est que nous parlions de notre volonté de
réussir la ville et l’intercommunalité, grâce à la présence du Conseil
Général, toujours attentif aux projets de chaque commune ; avec un
Président très attentif aux collégiens, aux aînés, aux laissés pour
compte ; je pense aux bénéficiaires des dispositifs d’insertion et des
allocations pour handicapés.
Ensemble, nous allons continuer à faire des choix d’avenir. C’est
pour cela que je tiens à vous saluer publiquement : acteurs de la vie
communale ; acteurs associatifs, culturels, sportifs, sociaux et
économiques.
En mon nom, au nom de mes collègues élus communaux et intercommunaux,
je vous adresse mes vœux de très bonne santé, de réussite dans vos
activités et projets personnels, associatifs ou professionnels. Mes vœux
s’adressent également à tous vos proches, parents et amis.
Mes pensées vont aussi à ceux qui n’ont pu se joindre à nous parce
qu’ils sont malades ou dans la peine. Que 2012 leur permette de
retrouver la santé, le réconfort, le courage et l'espoir.
Je vous remercie pour votre aimable présence, ce soir. Merci pour votre attention.
Philippe Bonnin, Maire